Salariés des établissements
Dernière mise à jour le 07/10/2021
Voici la situation d'Alba enfin réglée, après un an de courriers recommandés et d'interventions de la commission salariés des établissements !
Le coefficient global qui était de 1 206 points, en novembre 2020, est passé à 1 231 points, à partir de décembre 2020 (date à laquelle les ASEM devaient pourtant rendre "rapidement" leurs documents à la Direction). En outre : rappel de plus de 480 € au total.
Encore merci ! Amitiés.
Le coefficient global qui était de 1 206 points, en novembre 2020, est passé à 1 231 points, à partir de décembre 2020 (date à laquelle les ASEM devaient pourtant rendre "rapidement" leurs documents à la Direction). En outre : rappel de plus de 480 € au total.
Encore merci ! Amitiés.
J’ai été suite à des soucis de santé, victime de harcèlement et d’une mise au placard par mon employeur, et pour finir un non renouvellement de contrat.
Devant les difficultés à gérer le dossier, les responsables locaux finiront par nous mettre en relation avec le service juridique. L’affaire va prendre alors une autre dimension, organisation, stratégie, suivi, accompagnement, procédure vont devenir des maîtres mots.
Devant les difficultés à gérer le dossier, les responsables locaux finiront par nous mettre en relation avec le service juridique. L’affaire va prendre alors une autre dimension, organisation, stratégie, suivi, accompagnement, procédure vont devenir des maîtres mots.
J'ai vécu une expérience particulièrement difficile qui dure depuis des années avec l'organisme employeur et la direction : absences de mise à jour des contrats, des fiches de poste et fiches de classification, absence d’adéquation entre le calendrier annuel et le contrat, conventions collectives non respectées...
Je qualifierai le Spelc de très compétent. La personne représentante du Spelc de ma région a été très réactive et particulièrement efficace.
Je me suis sentie écoutée, soutenue, encouragée et défendue. Cela m'a permis d'y croire!
Le combat a été difficile, long mais grâce au Spelc, j'ai toujours gardé espoir et au bout d’une année de négociation, cette situation complexe et périlleuse a finalement pu être réparée, et aboutir à un accord transactionnel.
Je qualifierai le Spelc de très compétent. La personne représentante du Spelc de ma région a été très réactive et particulièrement efficace.
Je me suis sentie écoutée, soutenue, encouragée et défendue. Cela m'a permis d'y croire!
Le combat a été difficile, long mais grâce au Spelc, j'ai toujours gardé espoir et au bout d’une année de négociation, cette situation complexe et périlleuse a finalement pu être réparée, et aboutir à un accord transactionnel.
Après tous nos échanges, je tenais à remercier le Spelc pour tous les renseignements que la commission salariés des établissements m’a apportés
La réunion avec le président et la direction s'est très bien passée : l'OGEC a pris en compte notre demande et nos réflexions. Nos contrats devraient être revus et corrigés pour septembre.
Encore merci au nom de l’équipe (syndiqués et sympathisants).
La réunion avec le président et la direction s'est très bien passée : l'OGEC a pris en compte notre demande et nos réflexions. Nos contrats devraient être revus et corrigés pour septembre.
Encore merci au nom de l’équipe (syndiqués et sympathisants).
J’ai vécu une situation de relations conflictuelles dans le cadre d’une équipe de travail. Malgré des remises en cause et des tentatives de conciliation, il s’est avéré nécessaire de mettre un terme à ce fonctionnement qui n’évoluait pas de manière positive.
Ne sachant nous aider à gérer efficacement ce problème entre collègues, l’établissement m’a proposé une rupture conventionnelle que j’ai refusée. En effet, j’aurais vécu cela comme une double peine. En revanche, j’ai accepté un autre poste au sein de l’établissement dans lequel je me suis investie. Un an et demi plus tard, l’établissement m’a à nouveau demandé de réfléchir à une rupture conventionnelle.
Quels que soient les éléments évoqués, je reste persuadée que le plus gros problème relevait d’une question financière : en effet, un autre pouvait effectuer ce même travail pour un salaire bien inférieur.
Lors de nombreux échanges informels avec ma direction durant les jours de réflexion, j’ai clairement expliqué que j’étais conseillée par la représentante du personnel OGEC du Spelc. J’ai précisé qu’elle connaissait tout de ma situation professionnelle, y compris des problèmes rencontrés avec la première équipe.
Certes à regret, il fallait que je parte, ce n’était plus possible d’aller travailler dans de telles conditions ! J’ai dû alors faire un choix entre exposer ma situation aux prud’hommes ou accepter la rupture. Même si une partie de moi aurait trouvé honnête et juste de me défendre, je savais ce chemin long et compliqué, difficile à supporter psychologiquement.
Ne sachant nous aider à gérer efficacement ce problème entre collègues, l’établissement m’a proposé une rupture conventionnelle que j’ai refusée. En effet, j’aurais vécu cela comme une double peine. En revanche, j’ai accepté un autre poste au sein de l’établissement dans lequel je me suis investie. Un an et demi plus tard, l’établissement m’a à nouveau demandé de réfléchir à une rupture conventionnelle.
Quels que soient les éléments évoqués, je reste persuadée que le plus gros problème relevait d’une question financière : en effet, un autre pouvait effectuer ce même travail pour un salaire bien inférieur.
Lors de nombreux échanges informels avec ma direction durant les jours de réflexion, j’ai clairement expliqué que j’étais conseillée par la représentante du personnel OGEC du Spelc. J’ai précisé qu’elle connaissait tout de ma situation professionnelle, y compris des problèmes rencontrés avec la première équipe.
Certes à regret, il fallait que je parte, ce n’était plus possible d’aller travailler dans de telles conditions ! J’ai dû alors faire un choix entre exposer ma situation aux prud’hommes ou accepter la rupture. Même si une partie de moi aurait trouvé honnête et juste de me défendre, je savais ce chemin long et compliqué, difficile à supporter psychologiquement.